mardi 17 novembre 2009

"And no matter how hard you try, the feeling never goes away."

En fait, nan. J'peux pas. J'y arrive pas. Impossible de l'oublier. A vrai dire, j'ai jamais vraiment essayé. Je pensais que ça allait se faire tout seul, que le temps passerait le balais. Mais quel flemmard, celui-là. C'est bizarre, j'a plus trop l'impression qu'il soit indispensable à mon bonheur, mais je me sens pas aussi heureuse que lorsqu'il partageait ma vie. J'ai pourtant essayé de le remplacer. Ou du moins de le noyer dans une liste qui s'allonge un peu plus chaque week-end. Ca n'a pas fonctionné. Il me hante toujours, mais dans le bon sens du terme. Enfin, je sais pas trop. C'est plutôt sympa qu'on soit toujours en contact, mais j'ai tellement, tellement envie de le voir. Je parle même pas d'une histoire d'amour, simplement d'une discussion, d'une étreinte, d'un truc bien. J'en ai besoin, vraiment. J'ai l'impression de pas pouvoir le quitter comme ça, on peut pas tout arrêter, pas maintenant. Je suis toujours persuadée qu'il est le seul à vraiment me comprendre, à vraiment me connaitre. A tout deviner. A me faire rire pour de vrai, à me faire pleurer pour de vrai, aussi. C'est super dur, l'absence. Parce que je sais même pas si je le reverrai un jour. Mais moi j'peux pas continuer sans lui, ça va pas être possible. J'étais tellement forte, tellement amoureuse. Tellement bien, putain.

1 commentaire:

  1. Tu nous trouves pas un peu pitoyables de faire genre d'aller bien quand on va en cours et de lâcher nos pulsions déprimatoires sur nos blogs respectifs? Moi franchement si. 'fin toi t'as des vraies raisons de déprimer. Moi j'ai juste l'impression d'être la PIRE copine qu'Alex ai pu trouver sur la Terre et de tout le temps être trop égoiste. BREF. See you tomorow dear

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