dimanche 23 août 2009

And nothing else matters, comme dirait Metallica.

Je peste contre la Terre entière. Je trouve des défauts à tout le monde, je me noie dans un mutisme pitoyable. Mais pourquoi quand je pense à lui, rien de négatif ne me vient à l'esprit? C'est fou quand même. Je passe mon temps à critiquer la vie, mais lui nan, j'peux pas, y'a rien de négatif à penser. Il est comme une chanson de Saez (même si je doute qu'il appréciera cette comparaison). J'ai envie de l'écouter en boucle, de l'écrire, de la chanter, de la faire connaitre à tout le monde. J'ai envie de l'aimer jusqu'à la fin des temps, jusqu'en 2012 et même après. C'est la dose de perfection qui manquait à ma vie. Maintenant je sais à qui m'accrocher quand ça va mal, à qui penser quand je me sens seule, dans quels bras me réfugier quand j'en ai besoin. Je sais que c'est réciproque, je sais qu'il est là, et c'est tout ce qui me suffit pour éviter les conneries. Il est un peu comme une bouée, un truc de secours. Quand je plonge, quand je me noierais bien dans les abysses, il est là, ma lueur d'espoir qui me fait dire que le futur sera radieu. C'est comme si jamais je ne pourrai me lasser de l'apprendre par coeur, de tout oublier, et de recommencer. Moi qui suis la première à maudire les ex, à maudire l'amour et ses aventures foireuses, j'avoue qu'on est jamais à l'abris d'une belle histoire.

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